À
l'Assemblée
Jour 10
- Mercredi
30 juillet
Lors de la
conférence de presse tenue au terme de six années d’activité en
tant que président de la Fédération luthérienne mondiale (FLM),
l’évêque émérite Christian Krause est revenu sur les
principaux événements de son mandat.
Dans son coup
d’œil rétrospectif, l’ancien évêque de l’Eglise
évangélique luthérienne du Brunswick, Allemagne, a énuméré les
événements qui, pour lui, étaient les plus significatifs de cette
période. D’abord et avant tout, il a mentionné ses visites
pastorales aux Eglises membres de la FLM partout dans le monde, en
particulier celles rendues aux Eglises d’Europe de l’Est et de
Russie, qui se trouvaient aux premiers stades de transition après
le régime communiste, impatientes de se rapprocher de la
communauté fraternelle de la communion mondiale.
La Dixième Assemblée de la Fédération luthérienne
mondiale (FLM) est sur le point de terminer ses travaux. Elle a
adopté ce mercredi 30 juillet une série de « déclarations publiques
».
Estimant que la dette internationale des pays pauvres « constitue
actuellement un obstacle majeur à l’éradication de la pauvreté et à
la réalisation des droits humains élémentaires pour tous », et
qu’elle est en réalité « un moyen moderne de domination », qu’en
outre elle est souvent illégitime parce qu’elle renvoie à des prêts
accordés, en connaissance de cause, à des régimes dictatoriaux ou
corrompus, l’Assemblée en appelle « aux institutions financières »,
y compris les banques commerciales, « afin qu’elles admettent qu’une
partie de la dette est illégitime ou odieuse » et qu’elle doit donc
être annulée. Il appartiendra aux Églises membres de la FLM de
relayer cet appel en direction des gouvernements et des banques, et
de soutenir les initiatives de la société civile allant en ce sens.
> Cliquez
ici pour consulter l’article
complet.
C’est dans la
soirée que la Dixième Assemblée de la Fédération luthérienne
mondiale (FLM), à Winnipeg, a adopté le 30 juillet un « message aux
Églises membres ».
Ce document de plus de vingt pages reprend les différents chapitres
qui sous-titraient le thème général de l’Assemblée : « Pour guérir
le monde ». 1. La justification, don de guérison. 2. La communion,
don de guérison. 3. Guérir les divisions dans l’Église une. 4. La
mission de l’Église dans les contextes multireligieux. 5. Eliminer
les barrières d’exclusion. 6. Le ministère de guérison de l’Église.
7. Justice et guérison dans les familles. 8. Surmonter la violence
9. Transformer la mondialisation économique. 10. Guérir la création.
Pour chacun de ces chapitres, le Message reprend la quintessence des
discussions qui, tout au long des neufs jours précédents ont eu lieu
dans les « groupes village ». Et chacun s’achève par des «
engagements » et un appel aux Églises membres.
> Cliquez
ici pour consulter l’article
complet.
> Cliquez
ici pour consulter
la version
adoptée du
Message
de la Dixième
Assemblée
(Traduction provisoire).
(Le
lien est accessible par Adobe
Acrobat Reader.)
Les
États-unis sont pris à partie par l’Assemblée pour leur refus
de signer le Protocole de Kyoto (1997) sur la réduction des gaz à
effet de serre. Or, les USA sont les plus gros émetteurs de dioxyde
de carbone, le principal de ces gaz. L’Assemblée appelle donc le
gouvernement des USA à ratifier le Protocole de Kyoto et à
travailler à réduire sérieusement les émissions de dioxyde de
carbone.
> Cliquez ici pour consulter l’article
complet.
[Plan
du site] [Assemblée
accueil] [Liens]
[FLM accueil (anglais)] |